mardi 21 janvier 2025
Des mégalos pour mes galas
lundi 22 juillet 2024
Trump & fils
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Donald et Fred |
samedi 25 mai 2024
Vous reprendrez bien une guerre coloniale ?
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Voisins vigilants, Nouméa mai 2024 |
La suite des pathétiques quinquennats du Marquis n'a fait que confirmer cet état de choses.
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Renouer le dialogue qu'ils disaient. |
lundi 6 mars 2023
Musset par Gainsbourg
vendredi 17 juin 2022
Parlons peinture
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Le grand soir |
samedi 2 avril 2022
Les infortunes de la réalité
dimanche 22 août 2021
Un peu d'air frais
dimanche 18 avril 2021
Jouons avec Baudelaire
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Par Courbet |
Il y avait en lui du prêtre, de la vieille femme et du cabotin. C’était surtout un cabotin.
Poète, il ne l’était point de par le ciel, et il avait dû se donner un mal affreux pour le devenir : Il eut une minute de gloire, un siècle d’agonie : aura-t-il dix ans d’immortalité?
A peine !
Ses admirateurs peuvent tout au plus espérer qu’un jour un curieux ou un raffiné logera ce fou dans un volume tiré à cent exemplaires, en compagnie de quelques excentriques crottés. Il ne mérite pas davantage : et combien sont tombés qui étaient plus dignes d’être embaumés dans les pages d’un Elzévir ; ceux-là sont morts poitrinaires et non pas fous ; ils n’ont point eu les préoccupations terribles et les angoisses mesquines qu’eut toute sa vie ce forçat lugubre de l’excentricité.
Mettons à profit les bons conseils du poète, délivrés par Serge Reggiani.
Et persistons à contredire le grincheux inconnu avec cette version des Femmes damnées par Damien Saez.
La réponse ayant été trouvée, nous nous bornerons à conclure que notre cher Jules Vallés avait parfois des fautes de goût assez surprenantes. À moins qu'il ne se soit agi d'une tendance "commissaire politique" des Arts et lettres toute à fait déplorable.
vendredi 22 mai 2020
De l'héroïsme
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Gloire au travail ! |
Chair à canon collective au nom de laquelle des fabricants de monuments aux morts font fortune ou chair à travail qu'on glorifie puis à laquelle on accorde éventuellement une prime, un timbre poste ou une médaille en chocolat, le destin historique du héros est d'être mort, mutilé ou balayé sous le tapis.
Les trois en même temps, si possible. Après y'a plus qu'à lancer des appels d'offre chez les statuaires.
Le meilleur résumé de ce état de fait m'a été donné par un mineur asturien : "Chaque fois qu'on nous traite de héros et de fer de lance de la classe ouvrière, je me demande par où on va nous niquer."
Tant que nos maîtres bombarderont des exploités d'appels à l'héroïsme et qu'il se trouvera parmi ces derniers des crétins pour aller défiler au pas en souvenir du casse-pipe où on les a envoyés, tout restera à régler.
Une fois cette question entendue, on préfère adopter la position des Stranglers*, vilains petits canards du punk, en 1977 : No more heroes.
Puisqu'on aime, on ne compte pas. Une reprise en castillan de ce bon vieux Loquillo accompagné d'Hugh Cornwell, des mêmes Stranglers en guest. Vous remarquerez que si en anglais on cite volontiers Trotsky et Lénine, en espagnol, ce serait plutôt Durruti et le Quijote. Vivement que cette putain de frontière soit rouverte.
* Dont le clavier, Dave Greenfield n'a pas survécu à l'épidémie en cours.
mercredi 6 mai 2020
Tranche de vie (Ibérique)
Le pire est que le système consistant à arracher des aveux de culpabilité aux innocents n'était pas seulement utilisé avec les prisonniers politiques mais aussi et, je le crains, de façon plus généralisée, avec les délinquants de droit commun.
Mais eux, personne ne prend leur défense, les héros sont les activistes politiques, les ouvriers et les étudiants, personne ne parle de la pauvre andouille qu'on arrête, à qui on essaie de coller le délit d'un autre et qu'on massacre de la même façon. Personne ne demande la libération des voleurs qui ont souffert plus que tout autre du système policier, judiciaire et pénitentiaire franquiste, ils en ont certainement souffert plus, parce que le traitement qu'ils subissaient ne faisait pas scandale comme celui des prisonniers politiques, ils ne soulevaient aucune protestation internationale, ne provoquaient ni grèves ni manifestations, ils n'avaient pas d'avocats prestigieux en mesure d'arracher pour eux un minimum de garanties dans le déroulement d'un procès.
Quelqu'un devrait écrire l'histoire de la petite délinquance sous le franquisme car de nombreux escrocs minables mériteraient une plaque commémorative ou au moins une tombe décente, étant donné ce qu'ils ont souffert. Un jour on videra les barrages et remonteront à la surface les voleurs de poules qui sont entrés un soir dans un commissariat ou une caserne et n'en sont pas sortis vivants, ceux que personne n'a réclamé.
lundi 4 mai 2020
Bêtes et méchants
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Prolos endimanchés partant se chamailler avec les autorités |
On ne sait non plus qui mettre en haut du podium en ce qui concerne le passage du Mur du çon, comme on dit dans un certain volatile paraissant tous les mercredis.
Macron et ses "chamailleries" du premier mai ? Après un Alexandre Benalla en poseur d'ambiance à la Contrescarpe en 2018 et une manifestation massacrée à Paris en 2019, fallait oser ! C'est même à ça qu'on le reconnaît.
Et Fourmies, gros malin, c'était une chamaillerie entre les prolos et la ligne ? Et Haymarket, c'était certainement une rixe entre ivrognes...
Autre sérieux concurrent, l'inénarrable Olivier Véran qui n'a pas pu s'empêcher de nous menacer, ce dimanche, sur l'air du "si vous vous relâchez, on vous relâche pas".
Mais à qui crois-tu donc t'adresser, escroc ? À une bande de sales gamins ? D'où te permets-tu d'oser nous faire du chantage, menteur patenté ? Toi qui as été de tous les cabinets ministériels, toi qui a contribué, comme tes compères, à bousiller le service de santé. Non seulement tu oses mais, comme tu nous prends pour une bande de demeurés, tu dois sans doute t'imaginer, qu'en plus, nous souffrons d'amnésie.
Et l'interdiction des bords de mer, on la met au compte de la stupidité ou de ce manifeste désir d'avilir le populo ? Et l'application flicarde pour smartphones, on la range dans quelle case ? Désolé, crapules, les chiffres sont formels : cette saloperie tue avant tout des vieux et ce sont essentiellement des jeunes gens qui sont munis de ce gadget et de ses multiples applications. Alors, vous cherchez quoi en fin de compte ? On va pas épiloguer sur l'opportunité offerte par la situation pour le grand bon en avant numérique et le contrôle social...
Et la limite des 100 kilomètres, c'est par amour des chiffres ronds ?
Sans parler du nombre de pays voisins où il n'est PAS réclamé la moindre dérogation bidon pour prendre un peu d'air frais.
Parfois, on a envie de vous remercier d'être aussi nuls, aussi hautains, aussi méprisants et aussi menteurs parce que ça finit par salement se voir.
Jusque à quand allons-nous laisser infantiliser par une bande d'assassins en costard ?
dimanche 26 avril 2020
Tranche de vie (familiale)
- Mon oncle était à Drancy, a dit Haymann d'un ton assez calme. Sa mère est morte pendant qu'il était à Drancy. Il a demandé, Seigneur, c'est vraiment formidable, il a bel et bien demandé qu'on le laisse sortir pour aller à l'enterrement, il promettait de revenir ensuite, écoutez bien, c'est pas là qu'il faut rire, c'est dans un moment. Tenez-vous bien, les types l'ont autorisé à sortir. tenez-vous encore mieux, il a passé trois jours en liberté et puis il est revenu, il est revenu, il est rentré à Drancy. Les types ont été sciés de le revoir, vou savez. Et on l'a envoyé en Allemagne. Et on l'a passé au crématoire, le con. Je préfère les Juifs de la génération suivante, vous voyez. Ceux qui ont des armes automatiques et de l'aviation et des barbelés. (il a ri doucement.) Purée, Tarpon, il n'y avait que dix ans de différence entre mon oncle et moi, mais je ne suis pas un mouton, vous savez, j'ai fait le coup de feu, sans doute ai-je tué des Allemands. Je sais me servir d'un fusil. J'ai même été marxiste. J'ai lu Le Rôle de la violence dans l'Histoire et je m'en souviens et je suis d'accord avec. Purée !
- Vous voulez vous arrêter sur le bas-côté, a demandé Charlotte, et que je conduise ?
- Non merci. Ça va. Ça va aller.
jeudi 16 avril 2020
Quand la flotte prend l'eau
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Le Charles de Gaulle ralliant Toulon |
Et jusque là tout était dans l'ordre des choses : hospitaliers, éboueurs, routiers, caissières, et autres prolos fournissaient la chair à canon habituelle.
Mais il semble que le front soit en train de craquer là où on ne s'y attendait pas (là aussi rien que de très naturel).
En témoigne cet article de France Bleu du 15 avril qui recueille les confidences d'un petit gars de la Royale
"Alors qu'au moins 668 marins du groupe aéronaval (Charles-de-Gaulle et frégate Chevalier Paul) sont positifs au Covid-19 selon le Ministère des Armées, un des membres d'équipage témoigne, sous couvert d'anonymat, pour France Bleu Provence. L'homme se dit "en colère" : "L'armée a joué avec notre santé, notre vie."
On étouffe (c'est le moment, tiens) d'indignation.
L'armée jouerait donc avec la vie de nos matafs et de nos biffins !
Et nous qui croyions bêtement qu'une guerre moderne correctement menée consistait à bousiller le plus possible de civils.
Voilà-t-il pas que non seulement nos militaires sont atteints mais qu'en plus ils en éprouvent de l'amertume. Limite mutins de la Mer Noire, les gars...
Et si un porte-avion se métamorphose en hôpital flottant, on frissonne à l'idée de ce qui se produit chez les confinés de nos formidables sous-marins nucléaires.
Allons, vaillants matelots, ressaisissez-vous ! La Marine française a des traditions : ils s'agit de tenir avec panache. Comme à Trafalgar ! Comme à Mers el Kebir !
Rappelez-vous que la Nation vous regarde.
Et arrêtez de chanter des conneries...
Si on ajoute aux galères de notre flotte la perte d'un fleuron de notre aviation on frémit à l'hypothèse que la perfide Albion ne vienne profiter de notre désarroi pour nous piquer nos zones de pêches. Ou que les troupes luxembourgeoises n'aillent contourner le front en passant par la Belgique.
Définitivement, on n'est pas protégés.
Allez, pour la route, un classique d'un folkeux néo zélandais disparu il y a deux mois.
Et un supplément pour vous apprendre que ce n'est pas mieux ailleurs. Monsieur Pop Iggy, de Detroit, Michigan, nous chante Asshole rules the navy. On approuve ce message.
lundi 13 avril 2020
Tranche de vie (en temps de guerre)
Maréchal Ducono se page avec méfiance,
Il rêve à la rebiffe et il crie au charron
Car il se sent déja loquedu et marron
Pour avoir arnaqué le populo de France.
S’il peut en écraser, s’étant rempli la panse,
En tant que maréchal à maousse ration,
Peut-il être à la bonne, ayant dans le croupion
Le pronostic des fumerons perdant patience ?
À la péter les vieux et les mignards calenchent,
Les durs bossent à cran et se brossent le manche:
Maréchal Ducono continue à pioncer.
C’est tarte, je t’écoute, à quarante-trois berges,
De se savoir vomi comme fiotte et faux derge
Mais tant pis pour son fade, il aurait dû clamser
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Ambiance grippe "espagnole" 1919. L'histoire ne se répète pas. Paraît-il... |
mercredi 25 mars 2020
Exode urbain
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Ce serait bien la seule |
Sachant que la vague d'injustement nommés Parisiens (car il y a aussi des Bordelais, Lyonnais, Toulousains, etc.) qui ont fui la ville pour passer leur isolement au vert ont provoqué une vague de paranoïa et de ressentiments dans nos campagnes (Ces salopiots viennent nous contaminer !) imaginons comment seront reçus des milliers de gars qui n'ont jamais ramassé une fraise, une asperge ou cueilli une cerise, qu'on va entasser dans des granges (sinon où ?) et à qui on va donner un boulot de merde payé des miettes habituellement réservé aux Polonais, Maghrébins, voire Espagnols qui peuplent nos champs à la belle saison.
On souhaite bonne chance à nos gendarmes pour rétablir un semblant de calme là-dedans.
Pour approfondir le sujet nous avons pris l'avis d'un parisien, anciennement petit commerçant,
dimanche 22 mars 2020
Je hais les dimanches et les délateurs
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Irresponsables ne respectant pas la distanciation sociale |
Défoulez-vous connards, bande de lâches même plus foutus d'écrire une lettre anonyme dûment timbrées à la préfecture, défoulez-vous sur les plus faibles ou plus petits ou même plus cons, ce sera toujours plus confortable que d'appeler un chat un chat, de se souvenir que ces ordures qui tenaient plus que tout à leurs élections n'ont RIEN fait, RIEN prévu, RIEN préparé (et surtout pas de tests ou de protections) et qu'ils continuent à nous mentir à longueur de journée. Qu'ils ont joué à une propagation à l'anglaise avant de nous jouer l'union sacrée. Qu'ils n'en ont rien à foutre de nos vies et que l'équilibre des comptes de la retraite va peut-être se résoudre tragiquement.
Je vous dégueule.
Pour rester dans le ton de cette saine bonne humeur, indispensable en temps de crise pour entretenir le moral des troupes, Je hais les dimanches écrit par Aznavour pour Piaf qui n'en avait pas voulu. Charles l'avait alors refilé à Juliette Gréco qui enregistra l'original en 1950. Consciente de sa boulette, la Môme en fit aussi sec une autre version, à notre entendement supérieure.
Bien entendu, il y avait eu le précédent de la chanson déprimante de Reszö Seress, Sombre dimanche, devenu Gloomy Sunday, ici par Marianne Faithfull.
Pour finir, honneur à mon voisin qui vers 20h se mit à déclamer du Rimbaud depuis sa fenêtre. Il s'agissait de Sensation, par Félix Leclerc en 1953.
mercredi 29 janvier 2020
Toulouse en chansons (5) : les Malpolis
Affiche des trois zigues parodiant qui vous savez
Les Malpolis ont été créés en 1997 par deux copains de beuverie, Pierrick Rouquette et Stéphane Dardé.
Ils ont enregistré eux-mêmes leur premier album Et là... vlan ! L'année suivante, un album live En public. Ces deux albums, aujourd'hui à peu près introuvables, s'étaient vendus à environ 1000 exemplaires, comme Pierrick s'en est vanté sur Radio Canal sud.
En 2001, ils ont recruté le batteur et multi-instrumentiste André Vigier Latour.
Ils écumèrent les scènes locales et autres squats pendant une douzaine d'années.
Ayant fait le tour de la question, ils ont arrêté leur trio en 2013. Sans doute pour échapper à l'ennui...
Depuis, Pierrick continue en solo
mardi 8 octobre 2019
Vaneaux d'octobre : en guise de réponse à l'envoyeur
Jean Yanne Les émancipations d'Alphonse
Les Wampas Manu Chao
Eminem / Papa Doc
Beatles / In my life
Alfred Lennon This is my life
Sex Pistols / New York
Johnny Thunders London Boys
Fabe / Des durs, des boss, des dombis
Lunatic La lettre
Merle Haggard / Okie from Muskogee
The Yougnblood Hippie from Olema
Les Gypsys Le prolétaire
Makach Crève, hippie, crève
Captain & Tennille/ Love will keep us together
Joy Division Love will tear un apart
Golden Moustache Old rap vs new rap
LKJ Di black petty booshwah
Roger Miller/ King of the road
Jody Miller Queen of the house
Siniestro Total Mina terra galega
Les Clébards Post scriptum
Hank Locklin/ Geisha girl
Skeeter Davis Lost to a geisha girl
MC Jean Gabin Je t'emmerde
C'est écoutable ou enregistrable en cliquant là.
On y fit allusion, voici la chanson par laquelle le scandale arriva. Neil Young en 1972 sur l'album Harvest chante l'Alabama du KKK.
mercredi 31 juillet 2019
Hector premier ministre !
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Duo dynamique |
En entendant les commentaires de ce grand humaniste d'Édouard Philippe au sujet de la mort de Steve Maia Caniço on se dit que si on avait cru toucher le fond, on s'est encore gourré.
Il n'y a plus de fond.
Et on a immanquablement pensé à ce tube du "Chopin du piano", l'autre Jean-Pierre Kalfon, monsieur Hector qui est toujours vivant et est donc pour devenir premier ministre au prochain remaniement.
Visiblement, il a quelques dispositions.
lundi 24 septembre 2018
Vivons joyeux en attendant la catastrophe
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Le film de 1936 |
Il n'est pas si fréquent que le refrain d'une chanson devienne expression populaire, en l'occurrence, il traduit une béate inconscience face à une situation qui s'annonce tragique.
Et ce n'est pas un hasard si cette chanson comique de l'orchestre de Ray Ventura connut un tel succès en 1935, située qu'elle était entre tentative de putsch des ligues d’extrême droite, grève générale accompagnant le Front populaire et accords de Munich. Dès sa sortie chanson fut si répandue, qu'elle fut déclinée, entre autres de Tout va très bien, monsieur Herriot (en 1936) à Tout va très bien mon Führer, de Pierre Dac, sur les ondes de Radio Londres.
Écrite par Paul Misraki, elle aurait été créée lors d'une tournée foireuse dans le sud de la France. Les Collégiens de Ventura faisant un flop retentissant, Coco Aslan aurait demandé à Misraki d'essayer un truc inspiré du sketch de la "Lady écossaise". Partant des premières notes et terminant par le pont "un incident, une bêtise..." celui-ci écrivit le morceau en une nuit et ce fut l'ovation assurée dès le lendemain.
D'après Lise Gruel-Apert, la "Lady écossaise" apparaissait déjà dans les contes russes compilés par Alexandre Afanassiev en 1871 sous le titre Khorocho, da khoudo (Ça va bien, sauf que ça va mal) qu'elle a traduit sous le titre Tout va très bien ou le noble ruiné.
On trouverait même traces d'un semblable thème dans des fabliaux du XIIIème siècle.
Quant au refrain, il est intégralement repris du sketch déjà cité du duo de comique troupiers Bach et Lavergne, de 1931. Ray Ventura les créditera comme co-paroliers.
Cette chanson sera reprise en russe dès 1935 par Leonid Outiossov, puis en allemand, italien hébreu, etc.
Une version télévisée de 1967 par Sacha Distel, Jean-Pierre Cassel, Roger Pierre, Jean-Marc Thibaut et Jean Yanne.