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mercredi 29 janvier 2020

Toulouse en chansons (5) : les Malpolis


Affiche des trois zigues parodiant qui vous savez 
  
Les Malpolis ont été créés en 1997 par deux copains de beuverie, Pierrick Rouquette et Stéphane Dardé. 
C'est pour un de leurs premiers concerts dans un bar que le patron leur a demandé comment s'appelait leur groupe. Leur réponse est alors « Les Malbaisés ! ». Le patron pétochard a donc affiché à la place « les Malpolis » et le nom est resté. 
Ils ont enregistré eux-mêmes leur premier album Et là... vlan ! L'année suivante, un album live En public. Ces deux albums, aujourd'hui à peu près introuvables, s'étaient vendus à environ 1000 exemplaires, comme Pierrick s'en est vanté sur Radio Canal sud.  

Une certaine idée de Brassens
 


En 2001, ils ont recruté le batteur et multi-instrumentiste André Vigier Latour. 
Ils écumèrent les scènes locales et autres squats pendant une douzaine d'années.
Ayant fait le tour de la question, ils ont arrêté leur trio en 2013. Sans doute pour échapper à l'ennui...
Depuis, Pierrick continue en solo
 Hymne régionaliste (extrait)

 Un ode à l'effort joué sur la (lamentable) tv locale

mercredi 2 octobre 2019

Au loin s'en vont les nuages


On a mauvais esprit.
Surtout lorsqu'on nous claironne que cinq mille tonnes de produits chimiques partis en fumée n'occasionnent qu'une gêne passagère due à l'odeur et aux poussières.
Qu'on se remémore l'ineptie des autorités après l'explosion de l'Onia, pardon, de l'usine AZF.
Ainsi que la fois où la ligne Maginot arrêta un autre nuage à nos frontières. Ce jour-là, il pleuvait aussi à Prypiat.
Et à comme s'il ne suffisait pas que les usines chimiques partent en fumée, on ne peut s'empêcher de songer à ces centrales nucléaires rafistolées.
Puisqu'on a mauvais esprit.

Tout comme Alain Bashung dans son Dimanche à Tchernobyl en 2002 (album L'imprudence)


Ou, dans un genre plus enlevé, les regrettés Malpolis, avec Du côté de Tchernobyl.


C'était notre rubrique "Il ne faut pas désespérer la Seine-Maritime".

vendredi 18 mars 2016

Parenthèse d'actualité : c'est quand le printemps ?

Rêvons un peu
Puisqu'il faut tout préciser, nous n'avons que mépris pour le salariat, pas pour les travailleurs*.
Enfin, pas pour ceux qui refusent d'être utilisés à marcher sur la gueule des autres.
Traîtres ? Non, logiques avec eux-mêmes.

Aussi, comme à l'enterrement de Vallès**, nous étions, ce jeudi, un fier tas à servir d'escorte à un mouvement encore balbutiant, sympathique à coup sûr mais très mal accompagné.
Qu'à-t-on vu à Toulouse ? Des syndicalistes jouant au flic plutôt deux fois qu'une, des politiques crapuleux qui s'incrustent sans se faire virer, des flics jouant aux flics et, pour finir, une dissolution absurde.
Ça, c'est le côté rageant.
La bonne surprise vient de certains débrayages et de la multiplication d'AG. En espérant qu'elles ne servent pas de dérivatifs pour les bonimenteurs habituels.  
En espérant aussi que la "Hache de Damoclés" de la chanson finira bien par tomber au bon endroit.
Après tout, nous n'y avons qu'un monde à gagner et comme disait un camarade espagnol : "nous n'avons pas peur des ruines."

Ceci posé, avec notre mauvais esprit habituel, on rappellera que nous partageons quelques revendications de base, ici exprimées par l'ex groupe toulousain : les Malpolis

 

* Puisque, faute d'être rentiers, nous en sommes.
** La chanson accompagnant ce lien explique le texte un peu abscons ci-dessus.

samedi 8 février 2014

Pour les amis de la famille (Parenthèse d'actualité)




En 1998, Les Malpolis nous livraient cette vision d'une famille inspirée des mésaventures d'un vicomte surnommé alors "l'agité du bocage".
Nous nous contenterons, pour notre part, de la dédier à tous les défenseurs de l'occident chrétien qu'on voit beaucoup trop apparaître ces temps-ci.