De nos jours, il faut se transporter dans les zones plutôt montagneuses pour pouvoir apercevoir nos adorables ruminantes s'ébattre dans un tant soit peu d'espace.
Les autres ont été parquées dans des hangars subventionnés par l'Europe du moment qu'on y a collé des panneaux solaires sur le toit.
Ou dans des fermes usines concentrationnaires.
Et puis, voilà t'il pas que les éleveurs, dont les brillants représentants syndicaux ont poussé à la surproduction, à l'endettement, à l'agrochimique généralisé, se retrouvent le bec dans l'eau. Et que je te bloque les périphériques ou les accès aux sites touristiques les plus tartes (Allez les gars ! Encore un effort pour interdire les accès à Lourdes !)
Essayez voir la même méthode si vous z'êtes pas de la FNSEA...
Mais foin de mauvais esprit. En 1966, le bouffeur de bidoche connaissait déjà quelques angoisses au vu d'une inflation bovine causée par la distribution de La Villette.
C'est l'actualité du jour et c'est Jean Poiret qui s'y colle :
On avait eu l'occase de passer cette chanson au cour de notre émission animalière.
Et comme on est pas des bœufs, en guise de supplément, une aimable et brève émission au sujet du louchebem.