Et Godzilla se retrouva ringardisé. |
Étonnant comme chez nous, dans un des pays les plus nucléarisé par tête de pipe on joue à l'autruche. À part quelques nucléocrates prétextant une "énergie verte" et un État qui fait semblant de s'inquiéter même les tenants du nucléaire ferment leur bouche en attendant qu'une usine généralement vieille de plus de quarante ans n'aille nous péter au nez. Après... On verra. Les catastrophes précédentes sont là pour servir de laboratoire.
Question subsidiaire : comment arrête-t-on une centrale nucléaire ? En AG souveraine ? En groupe affinitaire ? En référendum populaire ?
Un petit peu de nostalgie d'avant le Boum avec ce titre de Castelhemis, Philippe Laboudigue de son vrai nom, Les centrales. Tiré de son album N'importe quelle sorte d'amour (1982).
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