jeudi 6 février 2020

Spartacus 's not dead

Issur Danielovitch et Bernard Schwartz sur Spartacus (1960)

À 103 ans, ça faisait un bail qu'il ne tournait plus.
Il nous restera pour toujours nos émerveillements de mômes avec entre autres les personnages de Charles Tatum (1951), Jim Deakins (1952) le colonel Dax (1957), Einar (1958), Jack Burns (1962). Et on en passe, surtout des westerns.
Mais le film nous a fasciné, à 12 ans, alors qu'on n'avait pas encore entendu parler des Bagaudes, de Rosa Luxemburg, de Karl Liebknecht, de Dalton Trumbo, d'Howard Fast ni d'un certain nombre de club de football d'Europe de l'Est, fut le film peut-être le plus catho de Kubrick, le peplum de luxe, celui qui nous laissa en larmes, ce fut bien entendu le seul et unique Spartacus. Celui de 1960.
Salut l'artiste !

Et il semble que le bougre savait jouer, ou alors il faisait très bien comme si : Young man with a horn (1950)

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