vendredi 30 juin 2017

Roger Riffard est maladroit

Music hall d'avril 59 avec, en couverture, Roger Riffard, Pia Colombo, Anne Sylvestre et Pierre Brunet
Lorsqu'il n'écrivait pas dans le Monde Libertaire ou deux romans méconnus (La grande descente et Les jardiniers du bitume), Roger Riffard composait et interprétait des chansons. On a évoqué tout ça dans quelques articles.
Dans le registre de la parodie du musette, voici une très bath java des solitaires. D'ailleurs, si quelqu'un possède Jojo du Magenta, écrit et chanté par le même, on est évidemment preneurs.
On rappelle ce site consacré à Roger-la-déveine. Pourquoi déveine ? Parce qu'après tant d'insuccès, lui qui devait tant à Brassens poussa la poisse jusqu'à mourir le même jour que son protecteur. Inutile de préciser que ça n'a pas fait une ligne dans la presse.



Et merci à tonton Crumb

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