On enregistre (2)
Le bouillant Marcel Azzola, décédé le 21 janvier 2019, raconte ici le déroulement des six minutes fatidiques de cet enregistrement qui rendit immortelle une certaine préfecture de Haut-Saône.On en avait causé là dans le temps.
Accompagné d'un radio-trottoir du 14 décembre 1968 basé sur les réactions des vésuliens et vésuliennes, maire et syndicat d'initiative inclus.
On avouera ne pas avoir effectué le pèlerinage sur la fabuleuse table d'orientation ultra-moderne.
David Dufresne, journaliste honnête qui a aussi son actualité en ce moment, a écrit un livre, On ne vit qu'une heure : une virée avec Jacques Brel, que je n'ai pas lu, mais dans lequel, si j'ai bien tout compris, il essaye de retrouver, dans le Vesoul d'aujourd'hui, la France chantée par Brel, en essayant de reconstituer les passages de Brel à Vesoul. Je crois même que Dufresne y habite ou y a habité. Si je tombe dessus, je le lirais bien...
RépondreSupprimerPas lu non plus mais il faut avouer que sa monographie du New Moon à Pigalle était tout à fait réjouissante.
RépondreSupprimerSauf erreur de ma part, c'est David Dufresne lui-même qui vient s'entretenir avec Marcel dans ce reportage.
RépondreSupprimerCe mec n'est pas une brêle, c'est le moins qu'on puisse dire : l'an dernier, lors du procès Tarnac, son témoignage de plus de deux heures a été décisif pour contrecarrer la construction policière de l'affaire, qui avait été longuement martelée par le le chef de la SDAT de 2008, venu témoigner spontanément (mais entièrement à charge) toute une après-midi quelques jours auparavant.
Tiens, c'est vrai que c'est lui, c'est même signé Davduf.net.
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