vendredi 21 septembre 2018

On a chanté Bonnot (2) deux versions


Ces hommes prennent des risques désespérés et quand ils sont pris, ils ne se trahissent pas les uns les autres car leur scénario ne les y appelle pas. C’est une idée qu’ils ont d’eux-mêmes.
Malcolm Menzies En exil chez les hommes 




Bonnot était cerné. Tant de monde pour tuer un seul homme. Derrière les forces de l'ordre se pressait une rangée de badauds retenus par les gendarmes. Il y avait des femmes et des enfants parmi eux. Ils étaient venus là comme des chacals pour le regarder mourir.
Malcolm Menzies En exil chez les hommes 


On recommande ce bouquin ainsi que tous ceux écrits par ce charmant et plus tout jeune écossais. C'est tout pour aujourd'hui.

5 commentaires:

  1. Bonjour,
    je suis un ami de Malcom Menzies et de l'éditeur de ce livre: je vous remercie en leur nom de l'avoir cité.
    Moriel

    RépondreSupprimer
  2. On en rajoute même une couche en préconisant la lecture de "Deux lueurs du temps. Le poète et le bandit." du même, cette fois chez Plein Chant.
    Envoyez nos salutations à l'auteur à l'occasion.
    J.

    RépondreSupprimer
  3. De qui ces paroles ?

    "Vive Bonnot ! la bande ! [...]
    Les riches on les boulottera !
    Tra- tra- tra
    (sic)
    Avec des truffes dans le croupion !
    Vive le son du canon !
    Boum !
    "

    RépondreSupprimer
  4. L’inénarrable Docteur Destouches, me semble-t-il.
    J.

    RépondreSupprimer