Prolos affûtés prêts à passer à l'action |
Au menu du grand soir :
Expérience La révolution ne sera pas télévisée
L'Écho Râleur La carmagnole
Catherine Ribeiro (?) La guillotine permanente
Jean-Pierre Réginal Le calendrier révolutionnaire
VII La mort d'un monde
Mouloudji Quand viendra-t-elle ?
Marc Ogeret Le chant des canuts
Germaine Montéro Ceux d'Oviedo
Bérurier Noir Coup d'état de la jeunesse
Frères Misère La révolution
Ludwig von 88 La révolution n'est pas un dîner de gala
Moustaki Sans la nommer
Gilles Servat The foggy dew
2 bals' 2 nègs' & Mystic La sédition
Dan & Pat La diane du prolétaire
Cor de la plana La libertat
La Dernière Tribu Nés dans le béton
René Binamé La révolte
L'émission est disponible en cliquant là.
Et un coup de chapeau au centenaire du grand chambardement, cette déjà vieillerie (1977) signée Bulldozer. Le soleil se levait alors à l'Est. Enfin, y'en avaient pour bien vouloir s'en persuader.
Et pendant ce temps, en Catalogne (vue d'ensemble) |
Avec cette émission vous confirmez la description que faisait la junte tu petit général qui taquina du mineur en 34 de la ville de Toulouse dans les années 1960-1970 : capitale du terrorisme européen. Gaffe que la police ne refasse pas le coup de la perquis' comme en 83 ! Humour.
RépondreSupprimerChouette émission, Michel en forme et je trouve les membres du trio bien complémentaires.
Il me semble qu'en ce qui concerne la tentative d'insurrection à Lyon en septembre 1870 par Bakounine et ses potes ne dura même pas une journée, confirmant cette phrase du grand russe, y compris pour lui-même du coup (n'était-il pas international ?) : "Vous autres, Français, vous êtes admirables pour prendre l'Hôtel de Ville ; - seulement, vous ne le gardez jamais."
Merci mon colonel, z'êtes trop bon.
RépondreSupprimerQuant au commentaire du Michel Bakounine concernant les français, il n'avait peur-être pas tort mais cultivait lui-même de mauvaises fréquentations, Netchaïev par exemple.
Ah. Ça me revient, le général espagnol surnommé "le boucher des Asturies" en 1934 et exécuté par les miliciens de Madrid en août 1936 à l'hôpital est Eduardo Lopez Ochoa.
Son fils se fera flic et traquera les maquisards anti-franquistes de cette même région Léon / Asturies jusque dans les années 50 avec un sadisme tout freudien.
Jules