Nos rues sont donc encombrées d'individus hargneux et dangereux.
Plus ils sont suréquipés, plus ils ont la trouille à l'instant d'aller au contact.
Mais ils possédent la morgue de ceux à qui on assure l'impunité.
Snipers de pacotille qui tirent pour toucher*.
Alors, les arguties sur la violence, en ce moment, voyez-vous....
Pas de chanson française aujourd'hui pour exprimer notre mépris, juste cette aimable cumbia de piqueteros argentins: Yo no soy robocop.
Et ce vieux bijou des Members repris à Larry Wallis (1977) qui ne dit rien d'autre que ce qui est écrit ci-dessus.
* Un témoignage édifiant parmi tant d'autres.
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