mardi 31 décembre 2019

This is England (ciné club de réveillon)


Pour la fin de l'année, un petite fantaisie cinématographique.
Blousons noirs et bottes de cuir : Tunnel of love est un court-métrage complètement kitch de Robert Milton Wallace (1997). Ou les tribulations énamourées d'un rocker en Norton dans le Londres des années d'avant.
La musique est de Joe Strummer et Pablo Cook (qui officiaient dans ces mêmes eaux chez Kaurismäki dans I hired a contract killer) ce qui ne gâche pas notre plaisir.


Et les Revillos (ou Rezillos, ça dépend de l'année) groupe d'écossais déconneurs d'Édimbourg menés par Fay Fife et Jo Callis, en play-back dans Motorbike beat.

 

Allez, on vous la souhaite bien plus honorable que la précédente.
Marcel, remets-moi le p'tit Minervois !

5 commentaires:

  1. "dans le Londres des années d'avant" ? En 1997 ? Vous voulez dire les années d'avant-hier, il y a 20 ans ! Toujours cette bêtasse expression qui tourne autour "du monde d'avant". Avant quoi ? Et maintenant, on est dans le monde d'après ? Après quoi ? Après votre jeunesse, qui a foutu le camp ? Faut arrêter de reprendre les tics de langage des vieux cons revenus de tout. Conseil d'ami à l'aube de cette nouvelle année ! Et à la vôtre !

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    1. Revenu de tout ? Je me rappelle pas y être encore allé.
      Et, cher monsieur Gégé, on a beau détester les tics de langage (mais qui n'en a pas ?) on a écrit "avant" parce que ce film n'a déjà plus l'imaginaire de 1997. Ça faisait belle lurette en ces années là qu'on ne trouvait plus de bandes de rockers en Norton ni de créatures comme dans la bagnole. Le reste, les voies rapides, les ronds-points, sont bien de 1997.
      Alors, puisqu'on mélange deux époques, les années soixante et quatre-vingt dix, on l'a très précisément daté "d'avant".
      À ta santé, jeune con !
      De la part d'un vieux.

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  2. Gégénéralement, Jules, c'est Berréby qui signe "Gégé", donc pas vraiment un jeune con…

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  3. Notre proverbiale courtoisie a donc été prise en défaut.
    Mais si ce ne sont plus les jeunes qui traitent les vieux, on ne s'y retrouve plus.

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