dimanche 1 décembre 2019

Du Wagner et des Clash

Dieu que la guerre est jolie
Il arrive souvent qu'une réplique particulièrement pertinente ou bien sentie passe de l'écran à la rue. Il arrive aussi, mais plus rarement, qu'elle inspire une chanson.
C'est le cas de la sentence d'anthologie proférée par Robert Duvall en colonel "I like the smell of napalm in the morning" Kilgore du septième de cavalerie dans Apocalypse now de Francis Ford Coppola (1979).
Si à l'époque de sa sortie le public et la presse francophone retinrent surtout l'attaque au son de la Chevauchée des Walkiries ( "chaque fois que j'écoute Wagner j'ai envie de rayer un village de la carte" aurait pu commenter un autre réalisateur) la sortie de cet amoureux du surf qui programme son attaque sur l'horaire des marées ponctuée par un Charlie don't surf !* définitif devint une expression populaire chez les anglo-saxons.
Une séquence (raccourcie) du glorieux cabotin. 

 

Et sa reprise par The Clash dans leur disque mal aimé Sandinista ! (1980). Une chanson qui tient finalement bien la distance ne serait-que par ses paroles prémonitoires et le chant de Mick Jones.



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