mardi 4 décembre 2018

Les Vanneaux descendent aux enfers

Rien de mieux que Bosch pour avoir une petite idée de la chose
Dans un grand mouvement de solidarité, les Vanneaux ont décidé d'accompagner notre président, notre gouvernement, nos députés faire un petit tour aux enfers.
Hélas ! Lucifer étant plus balèze que nous, divers bugs durant l'enregistrement nous privent de nos judicieuses et joyeuses introductions, du moins pour deux morceaux. Bon, on a recollé les chansons tronquées.
Bonne écoute...

Little Bob Story                        Riot in Toulouse
Thiéfaine                                  1ère descente aux enfers par la face nord
Higelin                                      Ici c'est l'enfer
Zone infinie                              L'éternel retour
The Ruts                                   Babylon's burning
Max Romeo                              Chase the devil
Big Bill Bronzy                         Hell ain't but a mile and a quarter
Roberto Goyeneche                  Yira, yira
I Am                                          L'enfer
Hannes Wader                          Die Moorsoldaten
Theodorakis                              To stageio
Uncle Topedo                            Satan kingdom must come down
The Jam                                     Private hell
Niska                                         Story X
Austin Pitre                               Les flammes d'enfer
La Cliqua                                  Dernier jour sur terre
Willie Dunn                               I pity the country
Sandie Shaw                             Sympathy for the devil

On peut retrouver toute ce fatras en cliquant là

On se quitte avec le Père Joe au meilleur de sa forme nous amène tout droit en enfer (du Vietnam en l'occurrence).

 

Et une surprenante reprise de l'australien (et ex Saints) Ed Kueper



3 commentaires:

  1. A propos du titre de l'émission, je ne sais pas si la chose a déjà été mentionnée ici mais je relève que selon l'article du Parisien du 3 juin 1998, si les courageux zoziaux suicidaires ont pu ainsi dézinguer le PDG du groupe agroalimentaire Saint-Louis, Bernard Dumon, c'est parce que "les rampes d´effarouchement censées éloigner les oiseaux par des sons stridents n´étaient plus en service depuis bientôt 9 mois, [ayant été] grignotées par les lapins".
    Or, pourquoi ledit PDG avait-il réservé ce Falcon 20 ?
    Pour les besoins d´une partie de chasse en Roumanie…

    Sinon, je rappelle que le splendide film Le sud, dont il est fait mention dans l'émission, est l'œuvre de Fernando Solañas.

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  2. Fernando Ezequiel Solanas tout court (sans ñ), je croyais qu'on lavait mentionné. À moins que la coupure d'enregistrement nous ait encore joué un tour. À mon goût son meilleur film. J'en ai la larme à l'oeil à tous les coups.
    Merveilleuse solidarité animale, par ailleurs.
    Au moins, ce coup-là, le gibier a eu sa chance.

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