La musique est de Léo Guy. Une première version fut gravée en 1922, une autre, un peu moins sourde, plus audible, ci-dessous en 1934.
Patrick Walberg a commenté " c'est cette marge infime entre l'excessif et l'inadmissible qui lui confère tout son pouvoir hilarant". (cité par Jean-Louis Calvet dans Cent ans de chansons françaises).
Le succès fut considérable et poussa l'auteur à écrire environ 1500 chansons.
Sans compter quelques petits tracas de carrière qu'on vous a narré dans l'article consacré au monsieur (en lien ici sur son nom).
Je ne connaissais de ce titre que la version bien plus tragique de Santoni (ici partiellement entonnée par quelques joyeux camarades).
RépondreSupprimerBon sang, mais c'est bien sûr.
RépondreSupprimerIl s'agit d'une homonymie entre deux titres l'un de ce futur collabo de Georgius, l'autre, très populaire chez les chorales gauchistes, par Albert Santoni, chanteur de cabaret des années 60, devenu depuis la coqueluche des nostalgiques de l'Algérie française.
J.