Allez, une petite leçon de grec ancien en préambule
Pornoï : ceux qui se livrent à l’inconduite sexuelle. Autre traduction prostitués.
Pornikon : impôt prélevé sur les maisons closes par l'État Athénien antique qui, à l'instar du notre était déjà un sacré proxénète.
Pornographie : marchandise comme une autre.
Nous passons donc une majorité de notre existence à dormir, à nous nourrir et, pour pas mal d'entre nous, à bosser ou du moins à trouver de quoi se nourrir ou s'habiller.
On constatera que le temps laissé à la fornication est assez négligeable en regard de ce que cette (généralement) saine activité inspire les humains et laisse des traces dans les arts.
Assez tourné autour du popotin, donc, l'Herbe Tendre vous pose la question : une chanson érotico-leste doit-elle être obligatoirement vulgaire, beauf, lourdingue ?
On tâchera de prouver le contraire le lundi 5 octobre à 18h sur Canal Sud ou canalsud.net
En apéro Higelin en forme en 1979
On s'en pourlèche d'avance les babines !
RépondreSupprimerMais rassurez-moi : c'est bien tous publics ?
Pour un exemple de réponse à la question, voyez Colette Renard, par exemple…
Nous sommes toujours tous publics à l'exception des membres de l'Opus Dei, des universitaires cuistres, des socialistes au pouvoir et des gardiens de prison qui iront se faire voir ailleurs.
RépondreSupprimerOn va surtout tâcher d'éviter les redites et les trop prévisibles.
Y parviendrons-nous ?
J