Jean Guidoni est un de ces atypiques qu'on n'a pas encore évoqué ici. D'ailleurs, on n'a jamais prétendu à l’exhaustivité, juste à la subjectivité.
Ce chanteur, à l'inspiration désespérée, (né à Toulon en 1952) entamera sa carrière musicale en 1975.
Il a, depuis, commis 18 albums, dont un consacré à Prévert.
Tour à tour mis à la mode par la gauche caviar mitterandienne (surtout à l'époque de l'album "Crime passionnel avec Piazzola) puis rejeté par icelle pour avoir craché dans cette soupe (pas assez clean apparemment).
Son album de 1983, "Le rouge et le rose" sera plutôt banni des radios.
Un de ces titres phares "Le bon berger" est ici interprété en 1983 à l'Olympia.
On comprendra mieux le malaise de la bonne France, plus de chagrin que de pitié là-dedans.
Malsain ? Mais c'est pas lui qu'a commencé !
Ce bon berger, serait-ce un guide honni ?
RépondreSupprimerJoli, cher amoureux des cale-en-bourgs !
RépondreSupprimerA ce lundi sur nos zondes ,
J
Marrant, ça fait trente ans que cette chanson me trotte dans la tête et jusqu'ici je n'avais jamais pensé à ce jeu de mots laids-là !
RépondreSupprimerÀ lundi, camarades, et en avant vers la vie moderne !