Non, je ne me souviens plus
Du nom du bal perdu...
A ceux qui auraient raté le coche, la Fabrique de l'histoire consacrait une semaine à l'histoire des bals.
On n'a pas encore tout écouté, mais nous vous conseillons vivement l'émission où on cause bal clandestin pendant la seconde mondiale avec, entre autres, monsieur Marcel Azzola...
On pourra la retrouver ici-même .
Et on prend le biais de Damia pour illustrer le propos (des chansons de 43 et 44).
Ah, la p'tite balle du samedi soir, chantée par Schultz et ses amis...
RépondreSupprimerYep
RépondreSupprimerAvec le parabellum, vous restez dans le sujet, le moine.
Je vous renvoie à la notice wikipedia, bien détaillée, comme souvent, quand il s'agit d'armes de toutes sortes.
...Un reproche que Manchette faisait aux polardeux de son temps, c'était qu'ils étaient infoutus de bien décrire les flinguots.
C'était avant l'avènement de l'internet, : on était obligé, alors, de se coltiner les ouvrages, au hasard, du bien nommé Dominique Venner (dont la postérité, jugera, sans malice, du rôle éminent qu'il tînt en son temps).
E.
Cher Moine
RépondreSupprimerLe morceau de Papa Schultz auquel vous faites allusion se trouve précisément là :
http://radioherbetendre.blogspot.fr/search/label/Parabellum
A propos, si quelqu'un a des nouvelles de sa "clinique", voilà longtemps qu'on ne les a pas vu par chez nous.
Quant aux polardeux non initiés de l'époque, ils avaient une excellente alternative à ce fétichiste de Venner : le catalogue des armes et cycles de la manufacture de St Etienne.
Jules
A l'occasion, allez jeter un cil au début de polémique (gentillette) qui nous opposa, Cédric et nous, sur certaine question de balistique (il y est question du sieur Manchette, justement) : c'est dans les commentaires à notre article sur le très inepte (et suspect) DANS LE VENTRE DES MERES, de Marin Ledun.
Supprimersalutations.
Non seulement nous y fûmes mais partageons votre avis sur ledit Ledun.
RépondreSupprimerQuand donc un éditeur prendra-t-il la peine de faire traduire et sortir le quatrième livre de l'excellent Jake Arnott, "When Johnny comes marchin' home" au lieu de nous infliger une diarée de polardeux prétentieux ?
Amitiés
J
Sans compter que le titre du bouquin d'Arnott est aussi celui d'un standard de soul subversive fort efficace des sixstizes...
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerEt une version fort efficace des Clash en 78, "English civil war" (claire allusion aux sabotages de la Angry Brigade) pour ce titre qui n'est à la base rien moins qu'un chant de marche yankee de la Guerre de Sécession.
RépondreSupprimerConnaîtriez-vous un éditeur intéressé, cher Moine ?