Non seulement on sait bien va tous y passer, mais l'anniversaire de la Grande boucherie est là pour nous rappeler que les diverses manières collectives d'atteindre cette étape sont non seulement excessivement variées mais aussi fort à la mode au cours de notre grande peur de l'an 2000.
Adeptes de l'adage "Dansons en attendant la mort", plutôt que de se repentir de quoi que ce soit, faisons une pause grâce à une petite ballade apocalyptique, le Blues en fin du monde chanté par un Nino Ferrer qui n'hésitait pas à se représenter sous les traits du dépressif Capitaine Nino d'Hugo Pratt.
C'est extrait du ''Concert chez Harry '' enregistré les 13 & 14 juin 1995 .
20 ans déjà ! 20 ans seulement ! qu'il prononça ces mots terribles face à la camarde « Mes enfants, vous n'y pouvez rien, visez bien. Je suis innocent. Vive l'École Moderne ! » Rendons-lui encore un hommage (piqué à Dror). Et plaisanteries mises à part, j'aime beaucoup Nino.
RépondreSupprimerEt Nino parlait presque aussi bien castillan que Francisco ! Y'a qu'à écouter ses versions en espagnol.
RépondreSupprimerMerci pour cette version déjantée et bien lourde d'un de nos autres chéris peut-être un peu moins cafardeux que le précédent, Wrob.