Qui de plus indiqué que Bernard Dimey pour clore une année déplorable ?
Pour ne rien vous cacher, on se sent assez en accord avec l'humeur manifestée dans ce Quand on n'a rien à dire.
C'est posé par-dessus l'air de Flambée montalbanaise de Marcel Azzola.
(...) Quand on n'a rien à dire, on parle du Mexique.
De l'Amérique du Nord où tous les gens sont fous.
Du Pape et du tiercé, des anti-alcooliques.
Du cancer des fumeurs ou des machines à sous.
Des soldats, des curés, d' la musique militaire.
De la soupe à l'oignon, de l'île de la Cité.
Quand on n'a rien à dire et du mal à se taire, on arrive au sommet de l'imbécilité.
Bonne année 2018 à toute la communauté d'afficionados de ce blogue.
RépondreSupprimerJe ne sais pas trop quoi vous souhaiter parce que je suis beaucoup trop pessimiste face à l'avenir. J'aimerais vous souhaiter une bonne révolution mais je n'y crois pas pour cette année. Une révolution réactionnaire de l'extrême-droite peut-être, alors ça oui. On marine dedans depuis si longtemps.
Que nous appellerons donc contre-révolution par amour de la définition.
RépondreSupprimerCe qu'il y a de rigolo avec le fait de toucher le fond, c'est qu'on se rend finalement compte qu'il n'y a pas de fond.
Salut à touzetoutes.
Jules