Photo de David "Chim" Seymour |
Un grand coup de chapeau mou au Fou chantant de Narbonne, grand
malaxeur de mots. À celui qui jouait de son homosexualité en l'intercalant dans ses calembours ("Je tâte André à la sortie du garage"), au chanteur symbole du swing
de l'entre-deux guerres, d'abord avec Johnny Hess puis en solo, au zazou sosie
du juif Harpo Marx, d'après le torchon "Je suis partout" (1944), même
si, pour être juste, il faut bien avouer qu'il passa une occupation, somme toute, confortable.
Bref, à l'increvable qui, né en 1913, donna son dernier concert en 1999, deux
ans avant son décès.
Un exemple de son génie, encore vivace, en 1955
Un autre de 1951 (mais comment diable se donne-t-on de la joie avec une passoire ?)
Pour finir, un extrait d'une émission mythique :
Cher Julio, il y a deux jours, je montrais à ma chérie cette séquence entre Trenet et Brassens. Serions-nous sur écoute ? Ou tout au moins sur la même longueur d'ondes ?
RépondreSupprimerQui a dit que les réseaux "sociaux" c'était de l'entre-soi ?
RépondreSupprimerRassurez-vous cher inconsolable, on trouvera bien quelques points de désaccord pour éviter l'ennui.
Bien à vous
J.
La clé du mystère de la passoire réside sans doute dans le manche.
RépondreSupprimerSans doute, cher François. Le personnel semble doté d'une belle santé.
RépondreSupprimerAutre chose à vous signaler : connaissez-vous le 33 tours (Serge) "Kerguiduff chante Tristan Corbière" paru en 1976 ? un charme certain.
RépondreSupprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=TYNHC3-hB7U
Une bien belle découverte.
RépondreSupprimerMerci Violette.
J.
Une casserole d'eau bouillante emplie de nouilles ayant macéré 8 minutes. Le contenu déversé dans la passoire, puis dans une assiette banale. Quelques pincées de sel, un filet d'huile d'olive. Goûter bonheur.
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