Jeune financier plein d'avenir |
En ce qui concerne l'avenir, on ne peut qu'être rassurés, que ce soit pour celui du Bonimenteur de la jet-set ou de la Mère Fouettard.
Ces deux-là trouveront toujours suffisamment de lâches, d'opportunistes, de flics, de beaufs bien rassis prêts à se donner de l'importance, d'intellectuels organiques, de syndicalistes qui n'ont pas vu une pointeuse depuis des années, de journalistes cireurs de pompes, bref, de toute cette lie de l'humanité qui émerge dans ce genre de circonstance pour avoir le cul bien assis sur leur trône. Ça se bouscule déjà.
Rien de bien neuf depuis 1984.
Patriotes décomplexés en costume folklorique |
Bravo, Julio !
RépondreSupprimerHélas !
RépondreSupprimerPour faire barrage à Tixier-Vignancourt, votez Giscard !
RépondreSupprimerPour vous châtier de ne pas avoir voté au match Poher / Pompidou.
RépondreSupprimerJ.
N'empêche que le plus prescient de l'avenir qui nous menaçait déjà à l'époque, c'est le gars (ou la fille) qui a demandé aux PTT l'exclusivité du numéro de téléphone du QG du baltringue : VGE-81-88 !
RépondreSupprimerSinon pour moi, c'est Coty for ever.
(tout simplement, pardon, parce que la Seccotine était alors censée coller pour l'éternité)
RépondreSupprimerEt puis tiens, puisqu'on en est là, allons giscarrément jusqu'au bout !
RépondreSupprimerRien de bien neuf depuis 1958, en fait, ni même depuis 1848 — et on peut remonter loin en arrière, presque jusqu'au Big Bang…
Merci George, ça fait un bail qu'on doit se pencher sur le cas de marc Charlan.
RépondreSupprimerPour le reste, notre préféré reste sans contestation Paul Deschanel. En voilà au moins un qui ne prenait pas n'importe quel train en marche.
Certes : l'inventeur des pyjamas-party, bien avant Les cadavres ne portent pas de costard !
RépondreSupprimerMais la palme revient tout de même à Félix Faure, grâce à qui notre langue s'est enrichie du terme "épectase"…
Quant à Marc Charlan, inutile de préciser que je tiens J'suis français pour un sommet…
RépondreSupprimerHostia !
RépondreSupprimerTu me coupes l'herbe sous les pieds.
Mais l'herbe se laisse facilement attendrir, cher Michel : nul besoin qu'on la saoule épiée !
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