Les blessures causées par les flash-ball ou tasers ne faisaient pas encore partie du quotidien.
Le principal risque se réduisait alors à se faire piétiner, matraquer au bidule ou à coup de crosse de mousqueton ou même de déguster une grenade offensive.
C'était mieux avant ?
Pas forcément... Mais au moins les cognes étaient-ils un chouïa plus "accessibles".
Un petit rock de circonstance, assez "téléphoné", par la bande à Josse, (alors proche de l'UTCL) 12°5, avec Olivier Émery et Bud aux guitares, Jean-Luc Delove à la basse et Frank Gliksman à la batterie.
Cet article est dédié à Tanguy Fourez, ouvrier belge trahi par les siens pour avoir eu un beau geste de solidarité.
Et aussi à nos camarades esquintés d'hier qui viennent rallonger une longue liste alors que le torche-cul local ose annoncer cinq flics blessés (ou comment gratter des ITT).
Salut au Moine Bleu (et à ses jolies photos) |
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