L'exemple le plus évident en est la chanson Ainsi soit-il :
A l'ère du vidéo clip triomphant sur les écrans de télévision, en 1984, il va s'amuser en invitant Claude Brasseur, Gérard Jugnot et Alain Souchon à réinterpréter en actes cette chanson, originellement parue en 1974 sur l'album "Nous sommes des clowns". Pour ce faire, un concours de scénario avait été lancé dans un magazine télé.
On a beau préférer la première version de Hold-up, moins tchaka-poum, le clip reste assez enlevé.
Pour la petite histoire, son rejeton, M, en fera encore une version sur son album Mister Mystère en 2009.
C'était le temps des gangsters romantiques...
J'aime bien Louis Chedid, c'est un des chanteurs qui me fait penser à mon père, qui l'aimait bien (accessoirement, sont vrai "truc" étant le classique et le jazz), comme Delpech ou Ricet Barrier. Ou Trenet, mais j'ai jamais vraiment accroché, c'était trop ancien et pas assez politique pour moi, et puis il y avait une légende dans ma famille (maternelle bien sûr), comme quoi il aurait tenté d'enlever mon oncle, jeune garçon à l'époque, pour l'emmener faire je ne sais quoi en Amérique du sud...
RépondreSupprimerPar contre j'ai jamais rien compris à ce que fait son fils (à part la BO géniale des Triplettes de Belleville, que j'ai beaucoup aimées). Bon, je suis quand même moins dans l'incompréhension face au fils Chedid que face au rejeton Higelin, c'est vrai.
Quant à la fille du grand dégingandé, on a bien aimé ses débuts.
RépondreSupprimerJ.