Henri Tachan La censure
Nathalie Solence Le bijou de famille
Bobby Lapointe Embrouille minet
Francis Blanche Le complexe de la truite
Nougaro Sanguine, joli fruit
Lily Fayol La gavotte des bâtons blancs
La Rumeur L'ombre sur la mesure
Link Wray Rumble
Pierre Tisserand Nous aussi nous marchions
JP Smet Jésus est un hippie
Germaine Montéro Le bon dieu
Brassens not dead Le gorille
Frères Jacques La complainte des petits cabinets
Gerbia Ferme ta gueule
??? La sacem
Fernandel Fôlatrerie
Monty Un verre de whisky
NTM Police
Jacques Debronckart Mutins de 1917
Comme toujours, l'émission est là.
Grrrr, j'enrage ! Encore une fois bloqué hier loin de toute connexion internet fiable, impossible d'écouter le direct — et c'est pas faute d'avoir essayé…
RépondreSupprimerD'autant que j'aurais appelé à plusieurs reprises pour vous taper sur les oreilles :
La loi sur les publications destinées à la jeunesse, votée à l'unanimité des gaullistes et des communistes, c'est pas 1947 mais 1949.
Les 33 T. apparaissent en France au milieu des années 50 mais d'abord sous la forme de 25 cm, donc plus brefs que les 30 cm qui ne viendront que quelques années après.
Et La jeune fille du métro, c'est de Valette et Heintz (suffisait de se référer à mon billet, qui précise aussi que la suivante de Fernandel à fausses rimes s'intitule Aventure galante)…
Pour les devinettes, je séchais mais le copain qui m'aide au bouclard a tout de suite pensé, pour la deuxième, à une pression de Ricard sur De Gaulle : il n'était pas loin…
Où on constate encore une fois, l'utilité du métier de correcteur qui a, hélas, tendance à disparaître.
RépondreSupprimerRajoutons que la grande majorité des soldats fusillés lors de la Première guerre l'ont été fin 1914, bien plus qu'en 1917.
J
Ouif, dommage qu'il ait été foutu à la poubelle, ce métier de correcteur…
RépondreSupprimerD'autant que, pan sur le bec ! c'est pas La jeune fille du métro mais Folâtrerie, la chanson de Valette et Heintz interprétée par Fernandel que vous avez passée !
J'ai beaucoup apprécié.
RépondreSupprimerMes coups de coeur:
La complainte des petits cabinets
Mutins de 1917
Le bon dieu
Pas que les autres ne sont pas bonnes, mais il y en a plusieurs que je connaissais.
Comme un con en écoutant l'émission je me suis souvenu de cette pièce faisant l'apologie du terrorisme "Bozo les culottes". Un coup de Google plus tard, je suis tombé sur ce petit paragraphe éclairant sur la censure au Québec dans les années bouillantes de 1970 (https://books.google.ca/books?id=kpPCydTC8IwC&pg=PA116&lpg=PA116&dq=Bozo+les+culottes+censure&source=bl&ots=0WJAKjsI08&sig=PHD7Wl6Rxfrf3wYXqdhKiSIzNUo&hl=fr&sa=X&ei=L49KVcv9LLPdsATpjIFY&ved=0CDwQ6AEwBQ#v=onepage&q=Bozo%20les%20culottes%20censure&f=false).
Mais il semble qu'il s'agisse plutôt de censure indirecte ou d'autocensure.
Pour votre thème sur les chansons, ça vous prend la chanson de Ricet Barrier qui parle du métier de chanteur "entre la pute et le curé". Bien que je désapprouve sa vision disons angélique de la prostitution.
À propos de prostitution, voilà bien un thème autour duquel on tourne depuis un temps certain.
RépondreSupprimerFaut dire qu'il est à la fois fort prisé par la chanson et pas si simple à aborder, surtout à une époque où tout raisonnement 2.0 se doit d'être "pour" ou "contre".
Z'avez pigé qu'on a du pain sur la planche.
J
Mais je vous connait, vous n'êtes pas dogmatique, vous pouvez très bien passer des pièces avec divers points de vue sur la prostitution :)
RépondreSupprimerD'ailleurs j'en ai une excellent à vous proposer d'un rappeur bien de cheu nous. ;)