jeudi 3 avril 2014

Trenet et Brassens




    On sait  que le sétois admirait le narbonnais et sans doute lui devait-il beaucoup :  c'est le fou chantant, le premier sans doute, qui sut marier avec à-propos swing et chanson.
    Brassens, ne sachant que faire de son corps encombrant, devait aussi envier la facilité avec laquelle Trénet irradiait la scène...
   C'est flagrant dans l'interprétation du Petit oiseau ci-dessous où Brassens s'applique, soucieux de bien faire comme toujours (certes, plus détendu que d'habitude), et Trenet, enjôleur, qui met le pilote automatique, une fois que la chanson lui revient en mémoire...





    On suivra à loisir la suite de cette rencontre ci-dessous :



    Pour voir dans la longueur la plupart de ces vidéos (et une interprétation esquissée de Tout est au Duc), on se reportera à cette page



7 commentaires:

  1. Je bisse : merci ! Trenet m'a toujours un peu agacé (sans doute son côté sautillant souvent forcé, à l'inverse de Brassens, justement) mais je n'étais pas au courant de cette amitié-là.

    Et à propos d'amitié, voici que vous me faites celle de me bombarder "membre d'honneur" !
    Saperlotte, va falloir que j'assure un max…

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    1. En vertu de vos multiples et réitérés services rendus à la cause de la chanson. Ce n'est pas rien, cher George...
      E.

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    2. Oui, bah n'empêche que je suis toutému et tourneboulé !

      Cela dit, je préfère être membre d'honneur que donneur de membre…

      Tiens, sinon, j'ai retrouvé d'autres LP's de Morelli : un Bruant, et deux Aragon mis en musique par Leonardi.
      Et du Hélène Martin, aussi…

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    3. Si vos câbles pouvaient avoir la gentillesse de bien vouloir se mouvoir jusqu'à la juste place où on les attend ...
      Si le coeur vous en dit,cher George...

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    4. "Vocables", je kiffe toujours.

      Mais faut s'armer de patience, ça va encore prendre un peu de temps…

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