samedi 22 mars 2014

François Villon et la chanson

 

Si bien chantans, si bien parlans,
Si plaisans en faiz et en dis


    On avait envisagé un temps de faire une émission sur Maître François et l'idée est toujours dans les cartons.
    En attendant, chers lecteurs, bien que nous ne soyons spécialiste de rien, ni de chanson, ni d'histoire, ni de poésie - comme vous le savez désormais - nous vous proposons un modeste voyage du côté du sieur de Montcorbier, au fil de nos découvertes.
    On suivra ainsi les détours parfois étonnants de la postérité du poëte-voyou-assassin.

* Riens ne hait que persévérance *
     
    On ne cachera pas avoir butté sur quelques pierres d'achoppement (ou quelques bornes du Pet au Diable), et sans doute la marche est trop élevée, mais bon, on a pris notre bâton de pèlerin pour battre les dottore, et notre coquille pour nous protéger des jeteurs de sort.
    Le chemin est vaguement tracé.... Quant à aller jusqu'à Saint-Jacques...

     On a déjà sollicité pas mal de potes pour nous éclairer sur des obscurités. Qu'ils soient d'ores et déjà vivement remerciés pour leurs tendres contributions.
     Ce blogue, comme à son habitude, reste ouvert à toutes suggestions, commentaires, rectifications... enfin, tout ce que vous jugerez nécessaire.

* Tant court chanson qu'elle est apprise *

(1) La souris déglinguée - Françoys Villon


   On commence par la plus récente trace du Pipeur dans la chanson.
   Où l'on reparle de La souris déglinguée, pour un titre d'un album à paraître cette année.
    Maître François n'aurait sans doute pas été fâché de cet hommage électrique, dans un style qui fut, un temps, la musique essentiellement populaire du XXème siècle...







3 commentaires:

  1. Citation qui tombe à pic* de Thierry Pelletier :
    « Il y avait ce coté de la Souris, assez œcuménique. Je pense qu'avec le recul leurs textes deviennent de plus en plus intéressants. Ils parlent d'un microcosme, mais c'est un peu comme François Villon, qui narrait les aventures de quelques gars autour de lui et finalement tout le monde comprend. Thai Luc a un réel talent pour rendre tout cela universel. »
    No comment.
    * Ramassée sur le blog "Never trus a marxist"
    No comment...

    RépondreSupprimer
  2. " Au moyen dans les arts et la littérature en général ,les codes et la symbolique sont plus important que le fond du propos " c'est d'autant plus vrais au regards de tribus urbaines à une époque donnée et leurs épiques (ou non !?) Souvenirs en chanson par les preu L.S.D , d'autant plus que le caractère autobiographique des faits est un echo au vers de François de Moncorbier et c'est pourquoi le parallèle est à même de nous toucher .
    Quoi qu'il en soit et étant donné que les choux-fleurs (analogie très personnelle du tourisme ...😂) Poussent à présent sur le charnier des innocents , les Perry est autres bombeurs n'y sont plus qu'anecdotiques à l'instar des haubert et autres pourpoints .... Mais où sont les neiges d'antant ..!
    Wilma Van de Piek

    RépondreSupprimer