Parmi les collègues de la multinationale blogger (elle-même émanation de l'entreprise la plus puissante au monde), certains nous ont donné récemment quelques conseils avisés façon wild west. Un bon , une brute (qui fit, pour quelques dollars de plus un Chuncho au dessus de tous soupçons)... Nous nous permettons de rajouter un truand et non des moindres...
Et, en sus, un voeu pieux : ne jamais se départir de son colt, même à la plage.
Sans y mettre de la mauvaise Volonte et quelque soit l'estime qu'on peut porter au Gian Maria farceur, on regrettera la disparition récente de cette brutasse d'Eli Wallach qui crevait encore l'écran, il y a peu, dans "The ghostwriter".
RépondreSupprimerJe me demande tout de même si c'est à prendre comme un compliment, de me ranger ainsi dans le camp des bons (et non sur le banc des cons, merci !) : comme le soulignait Hitchcock, l'important dans le film c'est de soigner la qualité du méchant, sinon c'est marre…
RépondreSupprimerJe vais finir par envier cette brute de Tenancier, tiens !
On est méchant mais pas très malin : N'oubliez pas qui c'est qui creuse à la fin, George !
RépondreSupprimerQuant à la sentence infligée à Sentenza...