L'Empereur voudrait fuir de ses crimes
mais le sang répandu ne le laisse pas en paix.
Malgré les morts et l'air éteint
il tente en vain
de leur échapper.
D'abord, on arrive à effacer
à coup de peinture, l'ombre
que dans l'après-midi
le corps de l'Empereur finit par projetter
sur les murs du Palais.
El emperador de los cadáveres in No me preguntes cómo pasa el tiempo (trad maison)
Même si on doute fortement que le gangster pornographe devenu maître du monde a des insomnies, nous lui dédions ce poème de José Emilio Pacheco et cette chanson avec nos compliments.
Ainsi que celle-ci adressée ses valets
Tout ça n'est peut pas très lyrique mais que voulez-vous, y'a des jours comme ça.