mercredi 19 octobre 2016

Épastrouillante et véridique histoire du Pigalle de Gascogne

En préambule, tonton Pierre Perret dans un classique des salles de garde : Adieu, fais-toi putain :



Pour introduire la stupéfiante histoire du lieu-dit "Le Poteau" à Captieux, en Gironde landaise.
D'abord promu base militaire américaine garnie de soldats Polonais, (si!) ce trou perdu au milieu des pins devint un des haut lieux des nuits du sud-ouest grâce à la multiplication de ses bars de nuit qui n'étaient que des claques assez rudimentaires.
L'étonnant ne réside pas qu'une flopée de bordels ait poussé autour d'un nid de bidasses mais que ces derniers ayant plié bagage en 1966, le Pigalle des Landes va persister à briller de tous ses feux jusqu'en...1987 !
Malgré le côté sordide de l'affaire, on sourit pas mal à l'écoute de ce documentaire d'Olivier Chaumelle et Renaud Dalmar qui fleure bon le rugby de village, les magouilles américano-polonaises, les macs bordelais et quelques petits commerçants dont on reconnaît le grand cœur, toujours près du larfeuille.
C'était à "La fabrique de l'histoire" du 20 novembre 2007.
Puisqu'il semble que ça ne veuille pas bien fonctionner, le poadcast est à ce lien.

11 commentaires:

  1. "Ce trou perdu au milieu des pins" : l'image est parlante, la contrepèterie n'est pas loin, quel poète vous faites !

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    1. Ô (soupir !) Le dieu, putain ! merdait…

      [le dieu des contrepets, s'entend]

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    2. Allez donc raconter ça aux populations laborieuse du Cap.
      J

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    3. Mouais, Anonyme, c'est moins du contrepet que de l'emmulage de couches !

      Et Jules, c'est pas pour faire le faraud mais savez-vous que
      L'aspirant habite Javel ?

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    4. Pitié, George, tu es imbattable.
      Qu'est ce qui m'a pris ? Un moment de délire, je suppose.
      J

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  2. Non ! On n'est pas comme ça, voyons...
    Au fait, n'hésitez point à prendre un pseudo, même provisoire.
    Jules

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  3. Captieux : Qui vise à tromper par des apparences de raison, de vérité ; fallacieux.
    Anonyme : Dont l'auteur reste inconnu ; sans originalité, sans personnalité.

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  4. Pour le coup, je préfère la version de Tulaviok que celle de Perret...

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