vendredi 13 novembre 2015

Le désir selon Mouloudji




Madame Rita : femme fatale à ses heures
Le petit Marcel est loin de s'être contenté de chanter les autres (Queneau, Prévert, Dimey et bien d'autres).
Il écrivit la plupart de ses succès, chansons plutôt tendres, souvent placées sous le signe de l'auto-dérision.
On a toujours particulièrement aimé cette balade mélancolique, enregistrée en 1957.
La musique était co-écrite avec Henry Charles.
le titre est paru dans le disque "Le long des rues de Paris" édité par Philips (N 76.404R).
Au prix qu'atteint cette (bien nommée) galette chez les collectionneurs, on pourrait bouffer du caviar à la louche au petit-déjeuner et en amoureux pendant deux mois.
Approximativement...

3 commentaires:

  1. Quelle jolie balade ! Merci pour la découverte, mélomane inculte que je suis.
    En parlant des femmes fatales, je pense évidemment au fameux titre de la belle Nico...

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  2. J'aime beaucoup Mouloud, surtout depuis que j'ai appris à mieux le connaître en l'entendant sur DLHT et en le téléchargeant sur Lexomaniaque au temps béni où ça fonctionnait (le disque sur le bordel c'était bien là, paroles de Dimey ?). Avant son oeuvre était assez vague pour moi, je le croyais un peu sirupeux, larmoyant (un peu genre Leny Escudero, un mec sympa, mais à l'écoute un rien soporifique), alors qu'il est tout le contraire.

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  3. C'était bien le "Mouloudji chante Dimey" dans lequel on trouve à boire et à manger.Mais quand ça marche, c'est sublime.
    Faudra qu'on le mette ici-même pour épargner de la besogne à George.
    Merci à vous deux.
    Jules

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